Le Kenya
Kenya : l’excision au cœur des traditions
Le Kenya est un des pays de la corne de l’Afrique le plus touché par l’excision. En effet, la tradition du pays veut que les jeunes filles soient excisées lorsqu’elles deviennent des femmes. Ces mutilations génitales féminines (MGF) sont considérées comme un rite de passage obligatoire, pourtant elles ont des effets néfastes et dévastateurs sur le physique et la psychologie des filles (santé, éducation, avenir…) : ¾ des Kenyanes souffrent de complications après leur excision.
Nos actions au Kenya
L’ONG World Vision Internationale est présente au Kenya depuis 1974. Les équipes sur le terrain connaissent les enjeux du pays et sont donc en mesure de s’adapter aux populations locales. Grâce à cela, le réseau World Vision a pu venir en aide à 3 097 060 personnes en 2022, dont 2 280 000 enfants.
Par ailleurs, les mutilations génitales féminines (MFG) au Kenya sont un fléau. Pour y mettre un terme, World Vision France soutient activement le projet Kenya Big Dream qui a pour ambition de mettre un terme aux MGF et aux mariages forcés des filles qui y sont très souvent associés.
Aidez-nous à financer nos
projets
Lutter contre les Mutilations Génitales Féminines au Kenya
Lorsque la pauvreté est extrême, les mutilations génitales féminines et le mariage précoce peuvent être perçus comme la seule option viable par les parents pour assurer l’avenir de leurs filles.
World Vision agit pour un Kenya sans MGF ni mariage précoce par le biais du projet Kenya Big Dream, appliquant notre approche globale incluant simultanément les domaines de l’éducation, de l’autonomisation économique, de la protection de l’enfance, ainsi des actions de plaidoyer.